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 CSW; Jamais un sans l'autre

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2 participants
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C. Spencer Wilson

C. Spencer Wilson


Messages : 2

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MessageSujet: CSW; Jamais un sans l'autre   CSW; Jamais un sans l'autre EmptyDim 11 Mar - 19:28



Cedrick Spencer Wilson

I believe in nothing


CSW; Jamais un sans l'autre AP12
© crédit



Age : 19 ans
Date & Lieu de naissance : 7 Septembre 1993, Los Angeles
Confrérie : Alpha
Année: 2ème en criminologie
Groupe : Popular
Particularité : Aucune
Personnalité sur l'avatar : Alex Pettyfer




Il était une fois...
Mon histoire

J’avais les yeux rivés sur le test de grossesse. Moi? Enceinte? Non, ça ne se pouvait quand même pas! Je prenais toujours mes médicaments et j’étais assez précautionneuse pour que ça ne m’arrive pas… Seulement c’était le deuxième test que je passais aujourd’hui. J’avais décidé de ne pas croire le premier, alors j’étais allée m’en acheter un nouveau et j’avais refait le test. Je ne vous dis pas le stress qui m’avait habité pendant l’attente. J’avais été là, debout à contempler mon corps… Quand j’ai vu que le test était positif, je me suis simplement effondrée sur le sol. J’avais regard le mur qui me faisait face je ne sais combien de temps. Comment est-ce que ça pouvais m’arriver? Je ne le voulais pas cet enfant! Je ne voulais pas avoir à m’occuper de quelqu’un d’autre que de moi-même… J’étais persuadée que je serais une mauvaise mère, d’autant plus que je ne prenais pas d’attache avec aucun homme… Je me mis à réfléchir à ce qui c’était passé dernièrement qui aurait pu me valoir cette soudaine grossesse. Sur le moment, je ne voyais absolument rien qui puisse la justifiée, c’était complètement absurde! C’était incompréhensible! C’était…. C’était… C’était lui…

Quand je compris comment ça l’avait pu être possible, j’ai voulu m’arracher tous les cheveux de la tête. Mon état avait été fragile au cours des dernières semaines, j’avais donc dû cesser la prise de mes médicaments pour en prendre d’autres. Puis il y avait eu cet homme… Hmmm! Je ne vous dis pas comment il m’a attiré quand je l’ai aperçu au loin. Il était si joli, complètement à croquer. Il me semblait que tout ne tournait plus qu’autour de lui. Je me souviens m’être dépêchée d’aller le trouver avant qu’une autre ne mette le grappin dessus. À cette époque, j’étais loin de savoir que c’était un homme marié! J’en ai donc profité. Le pire était sans doute qu’il s’était toujours montrer réceptif malgré le fait qu’il appartenait à une autre! Quoique… si j’avais su avant, ça ne m’aurait probablement jamais arrêté quand même. Il était si… séduisant! Je ne pouvais le laisser filer comme ça sans y avoir goûté quand même! S’aurait été un scandale! Je me fichais bien de sa femme en arrière-plan. Lorsqu’il était avec moi, plus rien ne comptait!

Je m'étais approchée de lui, féline, démontrant clairement qu'il me plaisait. Jamais il ne m'a repousser. Il c'est contenté de me sourire, charmeur. Nous avons bu et discuter une partie de la soirée, rien de choquant. Chacun évitions de parler de notre vie profonde, ce dont on ne veut guerre parler au premier rendez-vous. Dieu qu'il étais beau... Je ne me souviens pas la fois que j'ai autant désiré toucher un homme. Bon je savais que ça n'irait probablement jamais plus loin que notre relation actuelle, mais on c'est mis à se fréquenter plus régulièrement, j'ai fini par apprendre qu'il était marié. Ce fut une déception en partie, mais je me dis que plutôt de me plaindre, je devais profiter de l'instant présent. Donc c'est ce que j'ai fait. J'ai profité de chaque seconde qu'il m'accordait. Je suis restée accrochée à cet homme, plus qu'à aucun autre. Oui bon je voyais plusieurs autres en même temps, j'étais jeune et je possédais de beaux atouts, mais n'empêche que celui qui retenait un peu plus mon attention et ma curiosité était bien lui. J'ai tenté de m'éloigner, de passer par dessus lui puisque je changeais trop pour ces beaux yeux. Mes amies me l'avaient dit, mais j'avais également remarqué par moi-même que mon comportement changeait lorsqu'il était dans les parages. À plusieurs reprises nous nous sommes retrouvés, j'étais incapable de lâcher prise. Il a été le seul qui m'a marquer à ce point et le seul qui a jamais réussi à me mettre enceinte... Moi... Enceinte... J'ai jamais voulu d'enfant, ces trucs qui pleurent sans arrêt et ne fait que demander votre attention... Je n'étais pas fait pour être mère, pas du tout.... Qu'est-ce que j'allais faire de celui qui grandissait dans mon ventre? J'ai du demander conseil à ma mère pour savoir ce que je ferais, j'étais tellement perdue... Je me souviens qu'elle m'ait forcer à le garder. Elle avait juré haut et fort que si je me débarrassais de ce petit que jamais plus je ne reverrais ma famille. Sous cette menace je l'ai gardé puisque ma mère constituait un morceau trop important de ma vie pour que je la laisse partir. J'avais à peine 20 ans et j'étais loin d'être capable de vivre par mes propres ailes dans ce monde. J'étais trop jeune et insouciante de tout pour que ça fonctionne. Je n'avais aucune tenue morale. Donc, j'ai gardé ce qui allait devenir mon fils, j'ignore toujours si je le regrette ou pas... Mon fils est tout un numéro, il ne donne pas sa place...

J'ai gardé le silence de nombreux mois avant de finalement le dire à qui que ce soit. Hormis ma famille, personne n'était au courant, pas même lui. J'ai trop eu peur pour lui en parler. Je ne voulais pas qu'il cesse de me voir pour avoir simplement jouer à un jeu dangereux. Il était connu et pleins aux as. J'avais quoi moi? Un petit appartement payer par mes parents le temps que je finisse mes études que je fichais parfaitement en l'air? Une vie de débauche que personne ne voudrait? J'avais besoin de lui. Au début je pensais bien pouvoir y arriver sans lui dire, arrêter de le voir durant les derniers mois de ma grossesse. Cacher la vérité au monde entier en me cloitrant dans mon appartement. J'y ai pensé, j'en ai discuté de cette possibilité avec ma mère, pensant même le donner en adoption. Cette possibilité pourtant venait à me déchirer. Comment ferais-je pour donner un enfant qui était en partir lui et moi aussi froidement que possible? J'avais beau aimer faire n'importe quoi de ma vie, cela me semblait presque aussi cruel que de l'abandonner dans une ruelle désaffectée. Tout simplement immoral. De toute façon, ma mère à catégoriquement refuser l'adoption. Elle m'a dit que j'avais voulu jouer à ce jeu, que je devais maintenant prendre sur moi et assumer les nouvelles responsabilités qu'il me serait attribuées. J'avais voulu assassiner ma mère. Je n'étais pas prête pour ça!

Après avoir longtemps réfléchis, passé trop de temps dans ma chambre à fixer ses murs gris oppressants, j'avais décidé de finalement aller le voir et de le mettre au courant. Je n'en pouvais plus de garder se secret et surtout que je commençais lentement à gonfler. Je m'étais dirigée vers chez lui, resserrant ma veste autour de mes épaules, me cachant aux yeux de tous. Oui, j'étais honteuse de ce qui ce préparait. D'un coup une culpabilité m'avais envahi en pensant à cette femme à qui il était marié. C'était dur à supporter. Je me souviens avoir regarder longuement la maison, hésitante à y aller. Elle serait-elle la? Apprendrait-elle finalement ce qui se passait? Je m'étais rendu compte à quel point j'ignorais plusieurs choses sur cet homme. J'avais inspiré profondément avant de foncer. Il devait savoir, je devais me libérer de ce poids. Dès qu'il a ouvert la porte, j'ai fondu en larmes, incapable de me contrôler. Je m'étais sentie tirer dans la maison et qu'on prenait soin de moi. Quand mes pleurs se furent calmé un peu, j'ai pu apercevoir un enfant, son enfant. Il était joli lui aussi. Je me souviens l'avoir fixer, la mélancolie s'étant emparer de chaque fibres de mon corps. Il l'a bien remarquer que je n'allais pas du tout puisque normalement, jamais je n'aurais débarquer chez lui sans invitation. J'ai gardé le silence un long moment avant de finalement déballer mon sac. Mes yeux c'étaient embuer à nouveau et j'avais sentit ses bras de refermer autour de moi. Son contact était électrisant. J'ai fini par entendre des talons claquer contre le sol, mais je n'osai jamais relever la tête et affronter celle que je savais être sa femme. Je suis partie environ une heure plus tard, mais j'étais loin d'être soulagée. Peut-être étais-ce parce qu'elle nous avait vu? Aucune idée, mais en rentrant chez moi, je me suis roulée en boule dans mon lit et j'ai attendu que le temps passe.

Les mois ce sont succédés. J'ai recommencé à étudier sous la surveillance de ma famille. Je devais pouvoir avoir un travail qui comblerait nos besoins à moi et mon futur enfant. J'ai repris mes études en comptabilité, me forçant enfin pour avoir de bonnes notes et avoir mon diplôme. J'ai continué de voir certaines personne, lui en faisait partit. Il m'a expliquer la situation et simplement pour ça, peu à peu je me suis mise à haïr cette femme qui m'empêchait de bien vouloir être heureuse. Oui bon d'accord, j'avais également pourri en partie sa vie, mais c'était bien parce que son mari avait bien accepter de se prêter au jeu. Quand j'ai finalement accouché à l'hôpital, il n'était pas la, personne n'était la... Enfin si, ma mère était présente et m'aidait à traverser mes épreuves. Quand j'ai pu prendre mon fils dans mes bras, l'instinct de mère m'est parvenue. Je voulais tellement lui éviter tous les maux de la terre... J'ai choisi ses prénoms et ma mère ma torturer pour que je lui donne le nom de son paternel. Elle disait que lui aussi devait assumer ses actes et j'avais fini par lâcher prise, incapable de tenir tête à me mère. J'avais regardé mon garçon, caressé ses petits cheveux blonds et restée bouche bée devant ses yeux. Cette couleur la c'était pas les miens, moi j'avais les yeux vert, lui ils étaient marrons. Un léger sourire c'était afficher sur mon visage. Cet enfant était à la fois lui et moi.

Spencer grandit rapidement. Il était toujours silencieux bien que possédant un charisme fou. Il était dans les populaires de son école et personne n'osait vraiment l'embêter. Je le voyais évoluer, agir, vieillir. Mon petit Spencer restait pour moi un être important. La seule chose que je ne pouvais m'empêcher de lui remettre sur le dos c'est de m'avoir fait perdre la seule personne à laquelle je tenais. Oui c'est mal venant d'une mère de penser ainsi, mais pour moi il était le responsable, bien que ça ne m'empêchait pas de l'aimer comme une folle. D'un autre côté, ce petit bout d'homme me permettait quand même de voir son père une fois par mois, le temps qu'il vienne porter le chèque familiale. Une fois alors que Spencer jouait dehors avec un ballon, seul, je l'avais étudier de A à Z. Il avait dix ans, connaissait même pas ou presque son père et pourtant, il ne semblait jamais s'en plaindre... Il ne disait rien non plus... Je me demandais bien comment il pouvait autant avoir d'amis alors qu'à la maison, les mots qu'il disait étaient rarissime. J'avais entendu frapper à la porte et je m'étais tirer de mes réflexions sur mon fils. J'étais allée répondre à son géniteur, non pas sans manquer la rencontre de son demi-frère. J'avais serrer les dents. Non! Ils ne s'entendraient sûrement pas! Si Spencer venait à apprécier son demi-frère, ce serait mortel! Je n'ai cessé de les regarder jouer avec le ballon, s'entend déjà venir l'éloignement qu'il y aurait entre mon fils et moi... Le mutisme incroyable dans lequel il se plongerait toujours face à moi, le silence qu'il a toujours afficher et affichera toujours face à sa mère qui pourtant ne tente que de le comprendre... Et la pseudo-admiration qu'il commencera à éprouver pour son... Demi-frère...

***


Chaque fois que mon père venait à la maison, je m'asseyais au sommet de marches à écouter ce qu'il se disait. Jamais je ne saluais mon père, je restait invisible là-haut. J'entendais ma mère tenter de ravoir mon père sans succès. Je l'entendais me vanter et mon j'avais toujours la même réaction, une légère pointe d'agacement mélanger à de l'exaspération. Elle ne comprendrait jamais ma mère que jamais elle ne revivrait quelque chose de près avec mon père, mais elle avait bien le droit de rêver faut croire..

Si vous saviez comment ma mère m'exaspère! Elle essaie tellement de contrôler ma vie et mes fréquentations que je n'ai plus la moindre chance de me faire ma propre vie. Déjà, j'ai aucunement le droit de voir mon frère dans ma maison, c'est une règle qu'elle a instaurer depuis mes 10 ans. Elle n'arrive pas à comprendre pourquoi je m'entend bien avec lui, dans sa tête je devrais tellement le détester! Pourtant leur problème d'adulte n'est pas le mien, je n'ai pas a être mêlé encore plus à cet histoire la! Ouais, ok c'est moi l'enfant indésirable qui a gâcher les vies de tout le monde, mais au fond est-ce vraiment moi le coupable? Depuis que je suis jeune je reste silencieux à ce sujet. Jamais on ne m'entend parler de quoique ce soit concernant la relation que j'ai avec mon père ou ma relation de famille tout court. J'ai mon frère et ça me suffit! C'est aussi le seul que je considère comme ma famille... Presque... Je ne peux pas vraiment dire que je n'ai pas de famille, mais je peux dire qu'elle m'exaspère. Mince consolation... J'ai jamais été très bavard, mais on m'a toujours apprécier. J'ai toujours du faire rapidement ma place et me faire respecter. Quand j'ai connu Sebastian, ouais il m'a donner des trucs et des conseils pour être encore plus au top, mais même sans ça j'aurais réussi à être haut dans les hiérarchies.

Ma mère à toujours pris soin de ne jamais m'envoyer dans les même école que mon frère. Elle ne voulait pas que je le fréquente, mais c'était assez compliqué. Pour ça, j'étais loin d'écouter. Mon frère je le voyais régulièrement, au plus grand désespoir de ma mère. Tant pis! Elle refusait également que je parle de lui comme étant vraiment mon frère, dans le meilleur des cas je pouvais dire demi-frère parce que c'est ce que nous sommes, mais elle le digérait tellement mal... C'était pas mon problème. Donc j'ai grandi, j'ai fréquenté de bonnes écoles, mais sans plus. Plus je vieillissais, plus je me refermais sur moi-même face à la mère. Elle en savait le minimum sur moi, je répondais simplement à sa question sans mettre de superflu autour de ma réponse et c'était tout. Sinon dans mes temps libres, je m'étais mis à jouer sur mon ordinateur et je devons rapidement habile avec l'informatique sans même avoir suivit de vrais cours. Les systèmes informatiques n'ont plus de secret pour moi et je peux faire ce que je veux. Demander moi de trouver quelque chose de compliquer à dénicher et vous verrez que moi j'y parviendrai! Malgré tout mon temps passé à démanteler les systèmes informatiques, j'ai continué à accroître ma popularité.

Quand j'ai du faire mon entrée au lycée, je me souviens avoir du faire une rencontre familiale avec ma mère et mon père. J'avais assisté à cet réunion sans intérêt. Je les avais écouter distraitement parler de mon avenir. Le problème était que mon père tenait dur comme fer à ce que je fasse mes études dans le même campus que lui, donc que je sois dans la même institution que Sebastian. J'avais tout écouté d'un silence parfait, écoutant les arguments de l'un et l'autre, aucun ne voulant lâcher leur points. Finalement mon père eut raison de ma mère et j'ai rentré à Westmount pour faire mes études en criminologie. J'ai fait mes études, me rapprochant encore plus si c'était possible de mon frère, faisant grossir mon cercle d'amis, mais me réfugiant toujours plus dans mon silence à la maison. Les gens auraient bien pu penser que Sebastian et moi ne nous entendrions pas, nous avions chacun notre cercle d'ami, mais avec mon frère, d'un simple coup d'oeil on réussi à comprendre l'autre, ça donc effrayer les étudiants qui auraient bien pu penser s'en prendre à un ou l'autre. C'est également en rentrant au lycée que j'ai fais la connaissance de ma copine. Leslie étudiait d'abord dans le même domaine que moi avant de finalement changer de branche et de préférer la juridique. N'empêche, nous avons sympathisé et finalement on c'était mis ensemble. J'étais vraiment sur mon petit nuage avec elle. Elle m'aimait, je l'aimais, tout allait bien. J'ignore si mon frère l'appréciait ou même ma mère, je leur ai jamais laisser le loisir de vraiment m'en parler. Ça c'était ma vie et c'était moi décidais, point à la ligne. Il n'était pas rare de me voir débouler dans les corridors, Leslie a mes côtés et mes amis m'entourant.

Quand j'ai rentré à l'université, mon frère était devenu le chef des Alpha et il m'y a accueilli à bras ouvert. Bon d'accord moi aussi j'ai du passer par l'initiation, mais c'était loin de me déranger. Leslie est également entrée dans la confrérie. Tout allait tellement bien... Jusqu'à la fin de l'an passée. Quand l'horreur est arrivée. Je me sens tellement coupable... J'étais censé être avec elle quand ça c'est produit... Mais à la place je suis resté avec mon frère à sa demande. Il c'était montrer insistant et finalement j'avais accepté de rester avec lui, annulant ma soirée avec Leslie, mais sur le coup, j'ignorais que je la perdrais, sinon jamais je ne serais resté avec Seb... J'ai appris le lendemain matin, en même temps que tous les autres qu'elle était décédée dans les mains du tueur fou de l'école. J'ignore la tête que j'ai fait, mais ça ne devait pas être joli... Je sais qu'on m'a tiré de la foule pour m'en éloigner. Tous les regards c'étaient tourner vers moi, mais moi je ne les voyaient pas. Leslie... Morte... J'ai eu du mal à m'en relever et même encore maintenant j'ai toujours du mal. Ça faisait trois ans que je la fréquentais, j'avais eu mes hauts et mes bas avec elle, mais tout me manquait cruellement. Son enterrement fut particulièrement douloureux. Sa famille restait près de moi, hormis son frère qui lui ne m'avait jamais apprécier de toute façon. J'avais reçu les condoléances après la famille, bien que je n'aie été que son copain... Le seul truc qui vint à m'agacer c'est que je n'ai jamais voulu de la pitié de personne. J'aurais de loin préférer vivre mon deuil seul, mais c'est assez compliquer quand on est populaire... Tant pis j'ai appris à faire avec ça...

Au début de cette année, j'entreprends ma seconde année en criminologie, mais je garde un objectif en tête, arrêter moi-même ce malade. J'ai envie de lui faire la peau pour m'avoir ravi la fille que j'ai aimé. En attendant, je reste patient et à l'affût, décider à me venger et apprenant à vivre différemment. Je ne m'empêche pas de vivre comme je le veux, de reprendre ma vie normalement sans l'oublier.


Mon Caractère

Amical, entêté, bourrique, caractère de cochon, gentil, doux, tendre, rêveur, solitaire, romantique, angoisé, trouillard, ... Dites nous ce qui vous définit le mieux. Le bon comme le mauvais....(10 lignes)


Mon Physique

Grand, petit, moyen, gros, maigre, musclé, brun, blond, châtain, yeux verts perçants, bleus mystérieux, marrons profond, Sourire, Comment décririez-vous votre physique...(10 lignes)



Derrière le miroir...
Mon histoire

Pseudo : Spencie
Age : 17 ans
Sexe : F
Loisir : Tous pleins de sports et euh l'ordinateur à la masse!
Code du Réglement :
Spoiler:
Comment as-tu découvert le forum : Par invitation


Dernière édition par C. Spencer Wilson le Dim 22 Avr - 15:35, édité 2 fois
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Sebastian A. Wilson

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MessageSujet: Re: CSW; Jamais un sans l'autre   CSW; Jamais un sans l'autre EmptyLun 12 Mar - 19:27

Yeah... Voilà le meilleur, après son frère Cool

Toi et moi... Les autres n'ont qu'à bien se tenir red
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C. Spencer Wilson

C. Spencer Wilson


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MessageSujet: Re: CSW; Jamais un sans l'autre   CSW; Jamais un sans l'autre EmptyMar 13 Mar - 23:21

Pfff! Comment ça après?!?
Je suis autant que toi tu sauras Cool sans moi tu es rien

Wais on va mettre le feu au plancher red
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Sebastian A. Wilson

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MessageSujet: Re: CSW; Jamais un sans l'autre   CSW; Jamais un sans l'autre EmptyMer 14 Mar - 19:22

mouais... bon ok Rolling Eyes

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Sebastian A. Wilson

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MessageSujet: Re: CSW; Jamais un sans l'autre   CSW; Jamais un sans l'autre EmptyVen 13 Avr - 18:32

Salut!

Je viens aux nouvelles pour savoir si ta fiche sera bientôt terminée. Si tu as besoin d'aide ou si tu as des questions n'hésite pas, on est là pour ça.

A bientôt j'espère.
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MessageSujet: Re: CSW; Jamais un sans l'autre   CSW; Jamais un sans l'autre Empty

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