Aalyah Evydence Stinson~~Une cheerleader au grand coeur!

Tout commença a Miami,la grande ville toujours ensoleillée, c’est la que je grandis et vécue une grande partie de ma vie…

« Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fou l’un de l’autre... » Cette citation connut du film «N’oublie Jamais » est sans doute celle qui correspondrait le mieux a l’histoire d’amour de Erik Théodore Stinson et d’Arya Graziella. En apparence, ce couple semblait se haïr profondément, mais en réalité, ils ne pouvaient vivre l’un sans l’autre.

Arya était un jolie jeune femme brune, avocate où plutôt procureur du roi. Je dois avouez que ma mère a toujours suscité mon admiration, elle était si intelligente, si belle et elle savait se faire respectait tout en aimant profondément son entourage. Erik, mon père, était avocat d’affaire, les plus craint de la profession. Même notre femme de ménage était terrifier rien qu’en le voyant. Papa était tellement douer qu’il se faisait payer 1500 dollars de l’heures pour se disputer avec les gens. Avec Aaron, Adelya et moi, il le faisait gratuitement car nous étions ses trois plus grand trésors. Mais ne vous fiez pas a son air stricte, car au fond, se cache un homme aimant et qui ferait tout et n’importe quoi pour ses proches.
D’ailleurs, de leur amour, naquit trois petit ange. Le premier fut Aaron. C’était mon grand frère, et j’en étais fière. Une vrai tête d’ange ! Il mentait si bien qu’on lui aurait donné le bon dieu sans confessions. Il vécue un an comme enfant unique avant que ma mère retombe enceinte d’un deuxième enfant : moi. Je suis née une après midi à l’hôpital civil de Miami. Comme d’habitude en Floride, le temps était ensoleillée et les touristes bronzaient sur la plage tranquillement pendant que moi… Bah pendant que moi je voyais le jour où plûtot, les lampes de la salle d’accouchement. Comme tout les bébé, je pleurais et cassais les oreilles a tout le monde. Bref ! Passons l’époque couche culotte, voulez-vous ?

Quatre ans plus tard, ce fut Adelya qui vint au monde. Une petite sœur… Pendant quatre ans j’en avais rêvée, avoir une petite sœur qui serait ma poupée barbie vivante et la voila ! Bien sur, je vis très vite qu’un bébé, ce n’était pas aussi drôle que ca en avait l’air et Aaron semblait détestait Adelya, il ne voulait ni la voir, ni l’entendre, ni même entendre son nom. Jalousie ? Je n’ai jamais sut mais entre lui et moi, le liens du sang était fort, très fort. Je fut sa protégée, la seule qu’il considéra comme sa sœur. Moi, j’adorais Adelya, je l’aimais vraiment. C’était ma sœur, c’était a moi de lui montrer l’exemple, comme Aaron le faisait pour moi.
Le 6 septembre 2000, je fis mes premiers pas dans la danse, je découvrais enfin ma passions. Quand je dansais, et encore maintenant, je me sentais moi, et libre. Je n’étais plus cette petite fille gentille et adorable qui ne savait pas dire non. Je ne pensais qu’à moi, a ma liberté. Bref, a partir de ce jour, la danse accompagna ma vie. Je grandis et entra au lycée, bien vite, j’intégrai les Cheerleader de mon Lycée.

Les années passèrent et deux jours avant la rentrée lors de mon avant dernière années,Aaron et moi, nous étions sortit en boite. J’étais accompagnée de mes meilleures amies et lui de ses amis aussi. A cette époque, je me croyais trop bien pour sortir avec des gamins de lycée. Et même si j’avais perdu ma virginité a mes quatorze ans avec un débile, je continuais a croire que je valais mieux que ça. Mon passe-temps favoris était de faire des commentaires sur les garçons mignons. D’ailleurs, mon frère en était complètement désespérer !
-Alors lui, il a un de ces culs ! Matte-moi ça Elena !

-Evydence ! Arrête de parler des mecs comme si nous étions un vulgaire morceau de viande !

-Excuse Aaron…J’avais oublié que pour toi qui a un cul plat, c’était un sujet délicat !

Je me souvint avoir beaucoup rit a cette soirée, mais je me souvenais surtout d’avoir rencontrer un jeune homme. Bien sur, j’avais seize ans et il était plus vieux que moi, il en avait 20 exactement et venait de finir ses études de prof de psychologie. J’étais tellement attirée par lui, que je décida de mentir sur mon âge. Son nom : Erwan J. Peterson. Il était beau… grand brun, séduisant. Je n’aurais sut dire pourquoi mais lui, il m’attirait beaucoup… Et contre toute attende, alors que je me dirigeais au comptoir pour commander, il m’offrit un verre et me sourit. Je craquait littéralement, son sourire était divin, sa voix était apaisante et agréable. Après une soirée a parlée avec lui, il m’invita a boire un verre, ce que j’accepta bien évidemment, vous pensez… Un homme comme ça on ne le laisse pas s’échapper comme ca les filles, croyez-moi !
La nuit se passa comme elle devait se passer : elle fut chaude et sensuelle. Le lendemain matin, je partis a pas de souris en rentra chez moi.

Puis, ce fut la rentrée de mon avant dernière année de Lycée, les profs se succédaient pour se présenter chacun a leur tour, ce rituel de début d’année était vraiment, mais vraiment ennuyant ! Jusqu’au cours de psychologique, alors que j’étais passionnée a faire un dessin, cet homme, Erwan, rentra dans la classe et se présenta, je ne fis pas attention et ne releva même pas la tête jusqu’au moment où je sentis mon cellulaire vibrer. Ma seule réaction fut de le sortir de ma poche et de me caler au fond de ma chaise pour lire.

« Que penses-tu du prof ? Plutôt sexy non ? »

Elena… décidément, elle me tuerait toujours, je releva alors le regard et je le vis, et apparemment lui aussi me reconnut car il se tut et me regarda avec de gros yeux surpris. Et merde…Là, j’étais mal ! La journée passa et je pris mon courage a deux mains pour allez le voir, il m’intriguait toujours autant et cela semblait réciproques.
Après deux trois rendez-vous dans son bureau ou en dehors dans des cafés, je tomba littéralement amoureuse de lui. Je remarqua que cela n’allait pas que de un sens. Je commençais alors ma première vrai histoire d’amour, avec des hauts et des bas, mais bien sur, le tout en cachette. Mon frère et ma sœur était au courant de cette liaison. Bien sur Aaron n’approuvait pas. De toute façon, il n’approuvait jamais rien quand cela me touchait de près ou de loin. C’est d’ailleurs ce qui un an plus tard le tua…

Nous étions a trois, Adelya, lui et moi. Alors qu’on se promenait dans le parc, une fusillade éclata… Adelya courut se mettre en sécurité derrière une voiture. Nous la suivions quand tout d’un coup, une balle, un tir,du sang,des cris d’effroi. Aaron venait de me pousser sur le côté et il me serra dans ses bras,m’interdisant de bouger dans un souffle. Je ne comprenais alors pas qu’il avait été toucher. Ce fut une fois que les policiers arrivèrent que les criminels partirent, les ambulances arrivaient déjà. Il y avait plus d’une victime et j’étais là, dans ses bras. Je sentais son étreinte se desserrer et son cœur se ralentir, je décida de désobéir et je le poussa avant de voir tout le sang, il en était couvert. J’appela un des ambulancier qui partit directement avec lui a l’hôpital. Je n’avais pas put monter avec lui et je rageais tout en pleurant a chaude larme… Je regarda autours de moi et commenca a crier le prénom de ma sœur.

-ADELYA ! ADELYA TES OU ?

Et je la vis, ma première réaction fut de la serer contre moi de toute mes forces… elle n’avait rien mais elle me regarda avec de gros yeux. Je compris en me regardant, j’étais moi aussi couverte de sang, de son sang. Je sortis les clefs de sa voiture qu’il me confiait toujours et je démarra, direction l’hôpital. Tout en conduisant, j’appelais ma mère, et lui raconta, j’entendis a sa voix qu’elle était bouleversée, la seule chose qu’elle me dit fut qu’elle nous rejoignait la bas le plus vite possible. Arrivée sur place, je fonça directement a l’accueil et demanda après mon frère.

-Aaron Christopher Stinson ? Il est au bloc opératoire des urgences…

Je n’attendis même pas la fin que je courrais déjà vers le couloir des blocs opératoire, j’étais complètement déboussolée. J’avais un mauvais pressentiment. Mais je ne montrais rien, ma petite sœur étant toujours à mes cotées, je me devais d’être forte et de la rassurée. Quelques instants plus tard, ma mère arriva et nous serra dans ses bras. Je n’oublierais jamais son regard horrifié quand elle me vit couverte du sang de son fils. Puis ce fut mon père, qui avait pensé a me ramener un pull que j’enfila directement. Il me demanda de ramener Adelya mais je refusa, je ne pouvais pas laisser mon frère sans savoir son état… J’étais inquiète et tremblante…
Après plusieurs heures…le chirurgiens sortit et a sa tête, ma mère fondit en larme et s’effondra a terre. J’haussa un sourcil… Nan…Nan ce n’était pas possible ! Pas lui ! Je sentis les larmes assaillirent mes joues et je rentra dans la salle avant de voir son cadavre… je fus figée de douleur, de désespoirs. Une mains se posa sur mon épaule et je vis ma sœur qui me serra ensuite dans ses bras. J’étais figée malgré que je la sentais sincère quand elle me lâcha, je sortis a toute vitesse sans rien dire et partit chez Erwan. Je toqua a sa porte et quand il m’ouvrit, je tomba dans ses bras et pleura a chaude larmes, essayant temps bien que mal de lui expliqué ce qu’il s’était passée… Et ce fut a ce moment précis, que je réalisa son amour a mon égard. Quand il me prit dans ses bras et me serra fort contre lui d'une manière tellement chaleureuse, compréhensible, sans un mot, juste de la tendresse et du réconfort.


Les semaines qui suivirent le décès de mon frère ne furent pas de tout repos. Je n’avais pas le courage de continuer dans cette ville mais je devais cependant attendre la fin d’année avant de partir. Erwan avait été un ange avec moi et m’avais soutenu. Il avait même réussit à me faire rire lors de leur moment privilégié. Seulement voila, la fin d’année arriva et mon père accepta un poste a Los Angeles. Je n’avais pas prévu de partir aussi loin. Je ne voulais pas trop m’éloignée d’Erwan…
Cependant, je n’eu pas le choix… Je du rompre avec lui et ce fut un moment encore difficile a passée. Le lendemain, nous partions direction la ville des anges. Mon père nous avait déjà inscrit a Westmount. Ma sœur elle s’adapta très vite, pour moi, c’était l’occasion de recommencer a zéros. Je décida de rejoindre les Cheerleaders, évidemment, je fus prise sans trop de problème et me lia très vite d’amitié avec Naomie June, la capitaine. Cela fait a présent trois ans que je suis arrivée a Westmount et que je faisais comme si rien n’étais arrivée. Bien sur, je resta souriante, et fis la fille toujours entrainante. Mais Adelya pourra vous le dire, je n’ai plus cette étincelle de joie de vivre que j’avais autrefois

« À mon avis, les tragédies ça fait partie de la vie, on va pas baisser les bras parce qu’on est malheureux. Je me suis rendu compte d’une chose, quand on vous brise le cœur, il faut se battre de toutes ses forces et s’accrocher à la vie, parce qu’elle continue quoiqu’il arrive et cette douleur qui vous déchire fait partie de la vie aussi tout comme la peur et le mal être. Toutes ces sensations qui sont là pour nous rappeler que les choses s’arrangeront, ça vaut le coup de continuer à se battre. » Que dire de plus ? C’est ce que je fait, je m’accroche a la vie et je surmontes les obstacles.

Malgré la mort de mon frère et mon histoire d’amour qui s’est finit beaucoup trop tôt, j’essaye de rester la même qu’autrefois : Souriante. Montrer a tout le monde que tout va bien quand tout va mal, je suis devenue une experte dans l’art de dissimuler mes vrais sentiments ou émotions par d’autre. Je montre toujours une allure de fille forte et indépendante, se moquant bien de ce que les autres peuvent penser de moi. Je reste la même fille gentille, qui malgré tout, quand vous l’ennuierez, vous dira toujours avec un sourire accrocher aux lèvres, d’allez vous faire voir ailleurs et de lui foutre la paix. Quand je veux savoir quelques choses, j’aurais encore l’air plus sur de moi et jouerais sur la psychologie inverser ou la pression. Bah oui, normale pour une futur avocate vous ne croyez pas ? J’ai aussi un grand sens de la négociation. J’aime obtenir les informations que je veux et je ferais tout pour les avoir. Pas pour pourrir les gens ou avoir des armes contre eux, bien au contraire ! Mais toi n’est qu’une façade , une carapace extérieur.
La réalité est tout autre, au fond, sous cette carapace de fille sur d’elle, je suis fille sensible et fragile. Un rien peut profondément me blessée, et même si je ne montre rien, je me remet sans cesse en question. Devrait-elle vraiment faire ça ? Son frère approuverait-il ? Et Erwan ? J’ai beaucoup de mal a m’accrocher au gens, a vrai dire, j’ai peur… S’accrocher a quelqu’un revenait a prendre un risque de le perdre un jour et de souffrir…Et ca je ne voulais plus ! Plus jamais ! Comme vous l’avez devinez, un de mes plus gros problème est de tourner la page et de faire revenir l’ancienne Aalyah qui manque particulièrement à ma sœur et mes parents.
Et oui, avant j’aimais jouer avec le feu et même me mettre dans des situations… inexplicable. Je ne me mettais jamais en question et adorait taquiner mon monde. Bon ok, j’adore encore taquiné les gens, mais beaucoup moins qu’avant. Quand je souriais, je transmettais ma bonne humeur a tout le monde. Oh je ne me force pas a sourire si ca n’en vaut pas la peine ou autre, mais moins sourire a présent et moins, comment dire…joyeux ? Heureux ? Cependant je sais que cette Lyah est encore au fond de moi et n’attend qu’une chose, reprendre le dessus…

Pour commencer, je suis une jeune fille de taille moyenne, un mètre soixante deux exactement, oui bon OK j'avoue, je suis en dessous de la taille moyenne, mais attention, cela ne m'empêche pas de mordre. Tout ce qui est petit est mignon, mais pas forcément docile. Je vous préviens: personne n'a le droit de me traiter de petite. Si vous le faites, c'est a vos risques et périls vous voilà prévenus cher amis. De plus, malgré ce petit problème de taille, j'ai toujours été une des meilleures Cheerleader. Je suis assez fine, a vrai dire, vu comme ca , on me croirait faites en porcelaine, fragile et menue. A croire que si on me sert dans ses bras, je pourrais casser comme on casserais une allumette. Mais ne vous fiez pas a ca, ce n'est qu'une apparence je vous le redis. Des cheveux brun, qui m'arrive un peu plus bas que les épaules, encadre mon visage. Ceux si sont d'un brun assez sombre, a la lumière, on y note quelques reflets chocolats et soyeux. Ce que j'aime particulièrement, c'est qu'ils sont doux au toucher, tout comme ma peau légèrement halée.
Maintenant, les détails qui font toutes la différences. Oui car des filles brunes et mince il y en a partout, mais ce qui compte, c'est le charme que les détails dégage. Prenons mes yeux par exemple : Ils sont de couleurs noisettes, mais si vous regardez plus attentivement, vous y remarquerez une lueur de mystère et de confiance en soie. Mon nez et fin, mais si on descend vers mes lèvres, on remarque que ma bouche est parfaitement dessinée, donnant une seule envie au hommes que je décide de séduire: m'embrasser. Elles sont légèrement gonflée, enfin plutôt pulpeuse a vrai dire. Pour le reste de mon corps, je n'ai vraiment rien a envier aux autres filles. J'ai une poitrine suffisante et adaptée a mon physique: ni trop grosse, ni trop petite. Pour mes fesses, c'est le même topos.
Parlons un peu de mon style maintenant: je suis assez simple...Jeans et tee-shirt. Simple mais cependant très féminine. Non je rigole, je suis toujours a la pointe de la mode, et très féminine, j'aime plaire et je ne m'en cache pas!