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 Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER

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5 participants
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S. Liam Parker

S. Liam Parker


Messages : 11
Localisation : Cherche, cherche, petit chien ! =P

Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Empty
MessageSujet: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 4:05



Sasha Liam Parker

Même dans le ciel qui se voile,
Il y a toujours une étoile, qui scintille
Et nous guide sur le chemin de nos rêves
Et quand on y croit, un nouveau jour se lève



Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER 29qh5q10
© mimi



Age : 21 ans.
Date & Lieu de naissance : Le 9 avril, il y a 21 ans et je ne sais pas où. Grand mystère de la vie.
Confrérie : Aucune pour l'instant, je viens d'arriver.
Année: 4 ème en journalisme
Groupe : Normal, actuellement.
Particularité : BG Powa ? red
Personnalité sur l'avatar : Chace Crawford




ONCE UPON A TIME
UN PASSE POUR NOUS FORGER

Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Mrg2kg
« Maman, pourquoi j’ai pas de papa ? »
« Je suis occupée, Liam. On en reparle plus tard. »

Je suis occupée Liam, on en reparle plus tard. Combien de fois ne l’ai-je pas entendue cette phrase ? Combien de fois ma mère ne me l’a pas dit ? Combien de fois n’ai-je pas mordu ma lèvre inférieure en acquiesçant à cette phrase, laissant à ma mère cette échappatoire qu’elle ne se privait pas d’utiliser ? Combien de fois n’ai-je pas espéré qu’il y aurait vraiment un « plus tard » où elle me répondrait ? Combien de fois ne suis-je pas retourné dans mon coin en essayant de trouver une réponse par moi-même ? Combien de fois n’ai-je pas rêvé à un homme qui courait le monde et reviendrait un jour voir sa femme et son fils ? Combien de fois n’ai-je pas cru que j’en avais un, de papa ? Combien de fois ne me suis-je pas assis sur la fenêtre de ma chambre, sur ce rebord où je déposais chaque fois mon oreiller pour ne pas avoir froid, et rêvé de voir mon père arriver, pousser la porte et m’ouvrir grand les bras ?

Bien sur, cela n’arrivait jamais. Aucun homme ne m’ouvrit les bras pour me saluer en rentrant à la maison. Aucun homme ne m’a jamais serré dans ses bras. Aucun homme n’a jamais été mon père. D’ailleurs … Quand j’étais petit, le mot « papa », n’était qu’un mot. J’avais une maman, et ses copains. Elle en avait parfois qui venaient à la maison. La plupart ne m’aimait pas et je ne les aimais pas non plus. Quand j’ai appris ce qu’étais un « papa », j’ai voulu en avoir un. Ca avait l’air chouette. Mais quand je demandais à maman, elle ne voulait pas. Elle disait que j’en avais de toute façon déjà hein, mais qu’il était loin. Je ne comprenait pas, mais elle me disait qu’on en reparlerait plus tard et je l’acceptai. C’est ma maman, elle ne mentait pas.

Qui est ma maman ? Une star. Je ne peux pas tout vous dire ici, au cas ou cela tomberait entre des mains mauvaises disons, mais ma mère est une star. Maintenant que je suis plus grand, je peux porter un jugement un jugement un peu plus neutre sur cette femme qui m’a élevé sans m’élevé. Une femme odieuse avec les trois quarts des gens, froide, belle, magnifique, égocentrique sur les bords. Son travail est tout pour elle et elle s’y plonge corps et âme. C’est pour ça que je dis qu’elle ne m’a pas vraiment élevé. C’est ma mère, et elle m’aime sûrement, mais elle n’était pas souvent à la maison. Elle m’offrait un cadeau pour que lui pardonne ses absences, et je lui pardonnai. J’aime ma mère. Elle m’a quand même donné la vie ! Mais nous ne sommes pas proches. Pas comme vous l’entendez.

En témoigne cette histoire de père. Quand elle me parle de mon père, juste pour me dire qu’il est loin, ses yeux brillent et elle se plonge dans ses pensées un moment avant de soupirer et de répéter cette phrase qui, je le savais, clôturait la discutions. Je suis occupée Liam, on en reparle plus tard. J’acquiesçai et elle repartait. Elle a ramené des hommes, mais quand elle parlait d’eux, ses yeux ne brillaient pas. J’en conclus qu’elle a aimé mon père et qu’elle se consolait de sa perte avec d’autres. Je me suis demandé, moi, si il n’était pas mort. Ce serait une bonne théorie. Je l’envisageai, lui demandai. Elle me répondit que par cette fameuse phrase. Je soupirai et la regardai partir. Les yeux de ma mère ne brillaient qu’en parlant de lui, ce mystérieux Mr Parker dont elle m’avait tout de même donné le nom. Mais qui était-il ? Je n’en avais aucune idée.

Quand j’étais petit, ma vie tournait toujours de la même façon. Le matin je me levais, allais à l’école, revenait tôt, mangeait une collation, faisait mes devoirs, voyait ma mère quelques minutes, mangeait et allait dormir. Tout ça, sans cesser de penser à mon père invisible. J’étais un garçon, vivant avec une mère absente. Mais je vivais avec, j’aimais ma mère. Elle se donnait la peine de venir me voir tout les jours, de passer du temps avec moi. J’aimais ces moments où j’étais seul avec elle, à rire et à profiter.

Mais j’ai grandi. Elle devait me juger assez grand et m’a laissé « plus de liberté ». Elle ne passait donc qu’une fois tout les trois quatre jours. Ca carrière prenait un tournant décisif et elle ne pouvait rentrer à la maison. Je vivais avec ma mère oui … Mais à travers les magazines. Alors à 13 ans, je passais plus de temps à l’extérieur que chez moi. Je continuai à vivre ma routine mais les soirs où elle n’était pas la, je partais. Je n’allais pas me shooter à un coin de rue ou aller faire la tourner des prostituée dans les rues, non. J’étais relativement sage. J’allais en général au skatepark, trainer avec des gars plus âgés que moi, fumer des cigarettes, aller cambrioler des supérettes ou taguer un mur. Ma mère n’en savait rien, ne le remarquait même pas. Je revenais blessé, elle n’arrivait même pas à m’engueuler. J’avais plus d’arguments qu’elle et elle n’aurait pu gagner une discussion contre moi et le savait. Je la regardai dans les yeux et elle baissait les siens, m’invitant au restaurant ou m’offrant un cadeau comme elle le faisait, avant. J’acquiesçais et lui pardonnais comme toujours. Pour repartir des le lendemain.

A mes 16 ans, j’ai quitter le skatepark pour suivre une fille. Oui, une fille. Elle s’appelait Christie, mais on l’appelait tous Kris. Elle fumait, buvait, se droguait, mais je l’ai aimé. De l’amour qu’un gosse porte à sa première copine. De l’admiration mélangé d’amour et de respect. De désir aussi. Je la voulais. Je l’ai eu, et elle m’a tout appris. Quand les flics sont descendus chez elle, Kris est venu chez moi et m’a demandé de m’enfuir avec elle, ce que j’ai fait sans hésiter. Je l’ai suivi pendant un peu moins d’un an, la protégeant, allant moi-même chercher la drogue pour elle sans jamais en prendre. Je n’aimais, et n’aime toujours pas ça. Je voyais les ravages que cela faisait sur les gens et cela me dégoutait. Je ne voulais pas que cela m’arrive à moi. Mais j’aurais tout fait pour Kris. Au bout d’un an, les flics m’ont retrouvés. Ils avaient des tonnes de preuves de moi avec des dealers, de moi entrain de cambrioler des magasins, de tabasser un gars qui avaient dit du mal de ma copine. Ils ont réussis à m’identifier et m’ont ramené.

11 mois après m’être enfui, je suis rentré chez moi menottes aux poings, dans une voiture de police, sans même savoir où était Kris. Ma mère m’a regardé en pleurant. Mais pas pour moi ; pour la réputation que ça allait faire si quelqu’un l’apprenait, de la honte que cela mettrait sur son nom et sa carrière. N’en pouvant plus, elle m’a consigné à la maison. Sauf que je ne voulais pas rester et que jamais personne ne me donnerait d’ordres. Des que l’occasion se présentait, je repartais à la recherche de Kris, pour finir de nouveau chez moi, deux policiers aux flancs. Cela me rendait rageux, surtout que je ne la retrouvait plus.

A mes 19 ans, ma mère à voulu déménager. Elle voulait m’éloigner, je crois. Je l’ai suivi, par obligation. Elle s’est installé dans une ville moins connue que la ville de mon enfance, mais pas loin de Los-Angeles. Il y avait une petite fac dans la ville et je l’ai intégré avec un an de retard. J’ai hésité et, faute de mieux, me suis lancé dans des études de journaliste. Ca m’a vite passionné, et je me suis plongé à corps perdu dans l’école, la vie sociale, mes études, et le sport aussi. J’ai intégré l’équipe de football en temps que Quater back, sans pour autant en être vraiment accro. C’était plus une façon de me défouler, de dépenser cette énergie et d’ainsi arrêter de m’enfuir pour un rien. J’ai oublié Kris lentement, en vivant.

Il y a quelque mois cependant, ma mère voyant que j’étais plus en forme, décida de repartir habiter en ville. Je grognai à cette idée, bien dans ma fac. Elle me convainquit sans que je ne m’explique encore pourquoi. J’aimais la ville, au fond de moi, je suppose. Je suis partit avec elle et suis arrivé à LA. Devant continuer mes études pour tenir, elle m’inscrit à Westmount, école réputée. J’y entrait en grognant, me prenant un appartement pour être libre de mes mouvements, bien que je doive encore passé voir ma mère une fois de temps en temps. Je ne sais même pas pourquoi, mais passons.

Je recommence donc au début, au tout début …


DERRIERE LE MASQUE

Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Izyqna
Qui suis-je … Je suis un garçon qui à la base était seul. Quand j’étais petit, j’étais seul. J’ai grandi, j’étais entouré, mais seul à l’intérieur. Personne n’a jamais compris, j’avais suivi ce que j’étais. J’ai toujours eu l’impression qu’il me manquait un truc pour avancer. Alors, j’ai eu un caractère de con, c’est le cas de le dire. Mais j’assume, hein ! Mais l’important, c’est actuellement. Et bien actuellement … Je suis un gars relativement calme. Je le suis en général. J’observe, je suis les événements, je réfléchis, avant de finalement avancer et me prononcer. J’agis pourtant sur des coups de tête parfois, mais toujours après un temps de réflexion. C’est plus fort que moi.

Les seules fois où je ne réfléchis pas, c’est quand je m’énerve. Alors, je pète un peu un plomb et je saute sans réfléchir. J’ai alors besoin de me défouler et je me plonge dans le sport ou dans une bagarre qui n’est peut-être pas la mienne. Il m’arrive même d’en créer juste pour pouvoir y prendre part. Je me bas, j’insulte, et je ne lésine pas sur les coups bas. Car, en général, je suis franc et loyal. Je dis toujours ce que je pense, même si ça fait mal, car j’ai horreur du mensonge. Loyal envers mes rares vrais amis, pour qui je donnerais tout, je le suis autant vers mes ennemis. Rancunier, je le suis tout autant que têtu et je refuse de baisser les yeux en premier. Une fois fâché contre quelqu’un, j’ai tendance à le rester jusqu’à ce qu’il vienne de lui-même arranger les choses, peu importe la douleur que cela me causera à moi. Et je suis plutôt un ennemi de taille. J’ai de l’argent et du charisme, ainsi qu’un sens de la psychologie et une connaissance des bas quartiers, et je sais m’en servir. Il faut au moins ça pour réussir à avancer.

La patience n’est pas mon fort, contrairement à l’immobilité. L’attente m’est insupportable, mais je peux rester deux heures dans un fauteuil à lire un livre sans même grimacer. L’important étant donc de toujours resté occupé. Je me débrouille pour toujours l’esprit en action, m’évitant ainsi de penser à des choses qui me seront désagréables. L’esprit humain à cette facilité à repousser les idées noires … Enfin soit. Malgré tout cela, ne croyez pas que je sois quelqu’un de vraiment sombre ! J’en ai une grande part en moi, c’est vrai, mais cela ne change rien au fait que je sois quelqu’un d’assez sociable. Je laisse toujours une chance, mais après à vous d’en faire ce que vous voulez. Je sais m’amuser et j’adore ça, même si je ne suis jamais bourré ou défoncé. Cela me dégoute profondément et même si je peux trainer avec des gens dans cet état, j’évite de l’être moi.

Souvent un sourire aux lèvres, je manie l’ironie et le sarcasme et me montre souvent froid. Je préfère caché cette part de sombre qui me hante, pour ne pas qu’on l’utilise comme une arme contre moi. Pourtant, je vis avec et elle fait partie de ce que je suis. Il m’arrive de rester un moment, les yeux dans le vide, observant des choses que je suis seul à voir et à ressentir. Je souris et entame une discussion sans intérêt que je suis mécaniquement. Contrairement aux mystère et énigmes. Cela me passionne et j’ai pour but de toujours percer un secret qui m’intéresse. J’obtiens toujours ce que je veux, c’est un tic de fils de riche. Je ne le suit pas souvent mais parfois, je deviens un parfait bourge bien chiant, avec sourire en coin et propos respectueux et pompeux. Je m’y plie l’esprit tranquille, habitué et blasé.


LE MASQUE QUE JE PORTE POUR TOI

Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Nq9qmb
Physiquement … La version sourire ou froid ? Les deux ? No problemo. Alors, en général d’abord. Je suis un mec. Je trouve ça important de le préciser ! Je ne suis pas une de ces monstres de foire de 2m80, mais pas plus un nain d’1m10. Je dirais que je suis dans la moyenne vers le haut. Etrange ? Ouais, on va dire. Disons que je suis légèrement plus grand que la moyenne, voila. Je suis taillé en v, comme on dit, et de nouveau un peu plus que la moyenne sans être un haltérophile. J’ai fait beaucoup de sport jusqu’à cette année, et même si j’ai arrêté le sport, je continue à courir, et m’entretenir avec pompes, abdos et tout ce qui va avec. Je m’aime bien comme je suis et j’ai pas envie de me relâcher bêtement.

Mes cheveux sont bruns. Parfois, il paraissent gris foncés, sérieux. Ce n’est pas pour ça que cela me va mal ou que je suis vieux, loin de là. Je suis toujours beau de toute façon. Non, en fait, ils sont vraiment bruns, avec plein de nuances de brun. Foncés, clairs, entre les deux, châtains, tout se mélangent, tout s’assemblent pour former une couleur en apparence brume uniforme et qui sous différentes lumière passe du clair au foncé, du chocolat au noisette. Je les porte court, préférant cent fois ça à des cheveux que je devrais repousser sans cesse de devant mes yeux. Même si j’ai la sale manie de passe ma main quarante fois par jour dans mes cheveux, pour une raison ou une autre. Mais ils retombent toujours bien et ne finissent jamais ébouriffés, mis à part de bon matin, alors franchement, je m’en fiche.

J’ai un visage que je définirais de … Carré, tiens. Enfin, plutôt rectangle … Me demander pas pourquoi, ça m’amuse juste. Donc, je disais, j’ai un visage assez fin, même si je n’ai rien d’un elfe. D’ailleurs mes oreilles, aux nombres de deux, sont tous ce qu’il y a de plus normales. J’ai aussi un nez et une bouche, pour info. Et deux yeux, évidemment. Bleus. Qui passent d’un bleu brillant et envoutant quand je suis de bonne humeur à un bleu tellement foncé qu’il en devient presque noir quand je suis vraiment énervé. Ils passent sinon par tout plein de nuances comme le bleu glacé ou bleu nuit. J’aime mes yeux et je sais que les autres aussi, ce qui fait que j’en profite, j’avoue. Et pour terminer avec ça, j’ai aussi des dents avec des canines d’ailleurs assez pointues. I’m a vampire ! Cool

Passons un plan plus matériel. Niveau vestimentaire, je suis souvent en jeans et t-shirt avec un sweat et des baskets. On va pas se compliqué la vie. J’admet qu’ils sont de marques, mais cela reste un jeans et un t-shirt. Il m’arrive aussi de mettre une chemise ou de me faire un peu beau, mais ma préférence au t-shirt. J’ai une sainte horreur des costume et une hantise des cravates. Moins j’en porte, mieux je me sens ! Après … J’ai toujours un collier autour du cou, seul chose que m’ai offert ma mère et qui avait un minimum de sens affectif. En fait, c’est une simple corde de cuir avec un anneau d’or offert par ma mère, le dit cadeau affectif, et un pendentif qu’on trouve dans les boites de kinder ou autres trucs du genre, que ma offert Kris. Je le garde en souvenir plus qu’en signe d’amour. J’ai abandonné tout espoir là-dessus … 



Derrière le miroir...
Mon histoire

Pseudo : Nékki Razz
Age : Hey, je suis dans ma 16 ème année !
Sexe : Nop, merci x)
Loisir : J'en ai plein oO
Code du Réglement :
Spoiler:
Comment as-tu découvert le forum : J'ai suivi le gamin (a) - Et je précise que j'ai l'accord du dit gamin pour faire ce perso' ! Avant que l'on ne m'engueule u.u
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Aalyah E. Stinson

Aalyah E. Stinson


Messages : 40

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MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 7:28

Un deuxième Parker! Bienvenue red
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S. Liam Parker

S. Liam Parker


Messages : 11
Localisation : Cherche, cherche, petit chien ! =P

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MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 7:31

Arigato ! Cool
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Naomie June

Naomie June


Messages : 46
Localisation : Gymnase ou terrain de foot (a)

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MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 7:34

Bah là >< Comme si c'était pas déjà assez la misère avec un seul -_-

Bienvenue quand même Rolling Eyes

Mais Hich reste le meilleur cute
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S. Liam Parker

S. Liam Parker


Messages : 11
Localisation : Cherche, cherche, petit chien ! =P

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MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 7:54

Ah donc, c'est à cause de toi qu'il a la grosse tête ? Tout s'explique. u.u

Et c'est moi le meilleur ! Cool
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Hanna B. Gallagher

Hanna B. Gallagher


Messages : 90

Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Empty
MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 22:23

Vive les Parker \o/
Welcome!
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Messages : 76

Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Empty
MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER EmptyJeu 5 Avr - 22:32

Pauvre petit Parker.... Ah non quand même pas!
Donc bienvenue sur le campus de Westmount! Tout est en règle, je ne vois rien qui ait à l'encontre du forum, je te valide donc. Nous te demandons seulement de bien vouloir aller faire recenser ton avatar, de remplir les différentes cases dans ton profil qui aiguillera les autres rapidement et de créer ta fiche de relation/RP. Si jamais tu as des questions, le staff est à ta disposition et te répondrons avec joie Wink
Bon jeu parmi nous!
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MessageSujet: Re: Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER   Avoir énormément d'amis, c'est n'en avoir aucun. ◈ L. PARKER Empty

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