Ne m'appelez pas samy :p vous n'avez pas fini de m'entendre

On veut tout savoir de votre premier cri à Hier soir. Et plus particulièrement vos plus noirs secrets... Vous avez été qui vous êtes... Et cela nous intéresse beaucoup... A la fin, on doit tout avoir découvert...

Samuel Charlie Davidson. Né un 19 juillet 1999. Je pourrais continuer à me présenter comme sur une carte d'identité mais l'ennuis avec les cartes d'identité c'est que tout n'est pas raconté. Si on devais tout dire sur une simple carte il n'y aurait pas assez de place. Nan sérieusement je vais arrêter de vous faire peur et plutôt vous conter mon histoire. Je n'aime pas les il était une fois alors je ferais simple. Du moins J'essairais parce que d'une je parle beaucoup pour ne rien dire et de deux mon histoire est peu commune.

Première chose à savoir je suis né d'une famille assez aisé et confortablement installé dans leur petit manoir .Il avait certain idéaux des liens familliaux. Je ne dis pas qu'il était mauvais non mais il l'est devenu par le futur. Deuxième chose à savoir je ne suis pas fils unique. Du moins, je ne l'ai pas toujours été. Je vous raconterais tout quelques lignes plus bas. Revenons à ma naissance. Je suis arrivé un jour d'été. Ma mère à accoucher à la maison qui ressemblais plus à un manoir en fait. Mon père a un très haut poste dans la fonction administrative de l'état. Pour dire vrai il n'en parle jamais. Je ne serais pas vous dire ce qu'il fait.Il n'a pas besoin de grand choses pour obtenir ce qu'il veut. Mon enfance à été plutôt calme. J'appréciais mon père même si parfois il était dur et en demandais beaucoup.
Revenons à ce que je vous disais plus haut. Je ne suis pas fils unique. J'ai un frère. J'avais. Plus âgé que moi. Si j'en parle au passé c'est qu'aujourd'hui il est mort. Dit comme ça ça peut vous paraître brutal et à moi même aussi. C'est la seconde raison qui fait que mon père et moi ne nous entendions plus. Mon frère est mort parce qu'il m'aidait à me sortir de la galère dans laquelle je m'étais mise. Retour en arrière pour que vous compreniez le tout. Il avait froid cette hiver là. J'avais 15 ans il en avait 17. Il avait un étang derrière chez nous qui avait gelé. On pensait que la glace serait assez solide et on a fait ce que font tout les gamins. Marcher sur la glace comme des pingouins et prouver que ça risquait rien. Sauf que je me suis un peu trop éloigner du bord. La glace était un peu trop fragile pour me supporter j'y suis passer au travers. J'étais totalement paniqué, par le froid, par la peur de rester bloquer là. Je n'arrivais plus à bouger mes jambes et l'eau entrait dans mes poumons. C'est lui qui m'a sortit de là. Il était plus costaud que moi et à réussis à me sortir de l'eau. Il avait eu aussi peur que moi. Je le sentais. Il me poussait vers le bord de l'étang pour ramener lorsqu'un autre bour de glace s'est briser sous son poids. J'arrivais à peine à bouger mes doigts de pieds. J'ai essayer de me forcer à aller le chercher comme il l'avait fait pour moi. J'ai essayer vraiment mais rien n'y a vait j'étais pratiquement congeler. J'ai cru mourir une seconde fois. Depuis ça je me sens responsable de sa mort et mon père aussi. Il me déteste et déteste mon don. Il me déteste et c'est horrible de le sentir si fortement lorsque je suis dans la même pièce. L'université m'a ouvert ses portes. J'évite le plus possible de retourner chez moi pour ne pas croiser mon père. Mais même le fait de l'éviter ne chasse pas ma culpabilité. Je me dis tous les jours que c'est de ma faute.
J'ai commencé à changer à ce moment là. Déjà avant on s'enguelait pour un rien toujours à chercher la petite bête. Il voulait que je fasse les même études que lui. Je refusais de faire comme lui. Il ordonait toujours des tas de choses que je refusais de faire. Et un jour quand j'ai eu enfin la chance de pouvoir quitter cette maison je suis partis. On m'a toujours dit que j'étais salement égoïste. Je prends juste la peine de vivre de mes propres choix. Evidemment je me sens encore mal vis a vis de ce qui c'est passer le soir du drame et j'evite d'en parler. Je me suis construit un monde et avance comme je le peux parce qu'il le faut. Il parait que je suis un trouble fait. Je n'en fais qu'a ma tête et n'écoute personne et ce depuis mes quinze ans. L'université n'a rien changer. J'ai beau avoir de bon résultats j'ai de nombreuses fois risqué de me faire jeter de la fac pour mon comportement.

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Amical, entêté, bourrique, caractère de cochon, gentil, doux, tendre, rêveur, solitaire, romantique, angoisé, trouillard, ... Dites nous ce qui vous définit le mieux. Le bon comme le mauvais....(10 lignes)
Plus têtue qu'une mule. Je ne me laisse pas dictée ma conduite oh que non. J'ai toujours tenu tête à mon père où aux suprérieurs des écoles et des universités. J'ai mes idées et je les garde rien que pour moi. Je ne suis pourtant pas quelqu'un de méchant, je suis attachant quand on me prette attention et qu'on évite de me prendre en pitié parce que je me sens coupable. Je n'ai besoin de personne ( en harley davidson – J'ai surement un ancêtre qui a inventé cette superbe moto) pour me dire ce que je dois faire et de toutes façon je n'écoute personne. J'agis sans réfléchir et ne pense pas aux conséquences de suite. Je reste gentil quand on me connais bien et trop sensible parfois. Je suis d'une jalousie extrême ce qui me pose pas mal de souci. Je suis en fait très possessif. A part cela je suis aimable avec à peu près tout le monde, enfin presque. On dit que je suis égoïste et que je ne pense qu'a moi, ça reste à prouver.

Grand, petit, moyen, gros, maigre, musclé, brun, blond, châtain, yeux verts perçants, bleus mystérieux, marrons profond, Sourire, Comment décririez-vous votre physique...(10 lignes)
Physiquement je suis plutôt dans la normal. Grand brun ténébreux.Mes yeux sont bleus vert. Je suis dans la moyenne des hommes. On me dit plutôt charmant et je vous avouerais que beaucoup de filles chuchotent sur mon passage et je me suis toujours demandé pourquoi. Je n'ai pas de signes particuliers si ce n'est que je garde les cheveux court, je le laisse rarement poussé plus long que le coup. Par moment j'ai une frange qui balaye mon regard et par d'autre on peu voir mon front qui entre nous n'a rien de particulier. Je ne souris pas beaucoup mais quand je le fais on aperçoit mes dents plutôt blanche et il parait que des pommettes se dessinent sur mes joues.