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 « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID

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Astrid E. June

Astrid E. June


Messages : 4

« La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID Empty
MessageSujet: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 8:44


astrid endolora june

♫ C’est une femme libre à la langue audacieuse
Et quand son sang chaud ne fait qu’un tour
Le calme prend un aller sans retour ♫



« La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID X2t8gj
© liloo-59



Age : 21 ans
Date & Lieu de naissance : 23 juin 1991 à New-York
Confrérie : Aucune pour l'instant
Année: 3ème année en droit.
Groupe : Popular
Particularité : Le diable dans un corps d'ange ... Interessant mélange, non ?
Personnalité sur l'avatar : Ashley Greene




Il était une fois...
Mon histoire

« La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID 23jo9l4
♫ Le tonnerre gronde vers les coups de midi
Et le ciel est toujours bleu
Quand on rappelle à la scandaleuse
Qu’on ne peut fumer ici ♫

La lune est haute dans le ciel. Ronde, belle, blanche, voilée par un fin nuage gris argenté. Déesse des loups, souveraine des étoiles, servante de la nuit. Elle illumine la ville, invisible aux yeux des pauvres humains aveuglés par les lumières faibles des lampadaires des immeuble. New York n’est jamais plongée dans le noir. Le jour, le soleil resplendit haut dans le ciel bleu. La nuit, la ville s’éveille au son des klaxons et des lampes qui s’allument. L’homme craint le noir. Sa vue est trop mauvaise pour qu’il y voit quoi que ce soit. L’homme à peur. L’homme n’a pas confiance en la lune et sa lumière. L’homme est stupide. Alors l’homme allume ses lampes, que ce soit lampadaires, lampes de chevet, phares de voitures, lustre dans les salles de séjour, lampe de poches, téléphone, … L’homme allume.

Même dans les rues les plus sombres, brille la faible lueur clignotante d’un lampadaire vieux d’un siècle. Regroupées autour, les prostitués tapinent en fumant cigarettes sur cigarettes, drogues sur drogues, alcool sur alcool. Oublier son quotidien, se perdre dans les méandres de l’oubli et ainsi ne plus sentir son corps. Ne plus sentir ce qu’un homme lui fera ensuite, pour une poignée de dollar. Un billet en plus et il lui fera tout ce qu’il voudra. Une cigarette, la fumée monte au ciel et s’ajoute au nuage qui voila la lune. Une voiture arrêtée sur le bas côté, vitres teintés et plutôt chic. Dedans un homme, connu et respectés. Il ne veut pas qu’on le reconnaisse, que l’on puisse voir qu’il va aux putes. Lui. Comment pourrait-il expliquer cela ? Ce serait facile, cela dit. Tout les hommes riches vont aux putes, dans les rues sombres de la grosse pomme. Car tout les hommes riches sont malheureux. Mariés à des femmes pour le profit et l’argent, ils ne sont pas aimés. Respectés, haïs, mais certainement pas aimés. Alors, lorsque la nuit tombe, lorsque les étoiles se dévoilent sur le velours d’ombre de la nuit, lorsque la lune invisible et présente ouvre son œil et protège les noctambules … Les hommes riches prennent leur voiture et descendant dans la rue malfamées de New York.

Assis, il observe. Il observe le groupe des filles de joies, les jaugeant comme un éleveur regarde les bêtes sur le marché. Il critique mentalement, il note les yeux lourdement fardés de la blonde, les seins lourds de la rousse, les jambes maigres de la brunette, les quinze ans de la fille aux yeux vitreux, les bleus sur les bras de l’asiatique, le bout de tissu jaune vif qui sert de robe à la grande noire. Il note, critique, envisage. D’habitude, il va voir Martha. Mais Martha n’est pas là ce soir. Elle danse dans les bras d’un autre ce soir. Alors l’homme réfléchit. La fausse blonde au coin de la rue ressemble à Martha. Elle a son bassin large, sa peau couleur de pèche et ses petits pieds. L’homme démarre, se gare à côté d’elle. La vitre se baisse, la discussion s’enclenche. Elle se fait appeler Debrah, ne prend pas cher et à un appartement dans l’immeuble derrière. Il verrouille sa voiture et la suit. La nuit fut courte, le plaisir bref mais Debrah sait y faire et c’est tout ce qu’il a besoin. De l’amour d’une inconnue pour quelques minutes, de jouir pour une femme qui lui dit qu’elle l’aime, bien qu’elle ne le pense pas. Au moins, elle le dit. Il l’entend et c’Est-ce qu’il veut entendre.

Il paye, il s’en va. Remonte dans sa voiture, met le contact, repart vers chez lui. Il se gare, restant dans sa voiture, reprenant ses esprits. Sa femme sait qu’il va voir ailleurs, ne dit rien tant qu’il ne lui laisse aucune preuve. Il vérifie encore mais non, aucun signe ne témoigne de sa brève nuit dans les bras de Debrah. Il se passe la main dans les cheveux et sort. Avance vers la porte de son immeuble, tape le code d’une main habituée. Entre dans l’ascenseur, appuie sur le 7. La porte s’ouvre directement sur l’appartement luxueux où il habite avec sa femme. Elle est déjà au lit, habituée à ses absences. Il va se doucher, se glisse dans son lit et s’endort.

Le matin, à son réveil, sa femme est assise dans le canapé, les jambes croisées et elle l’attend. Il reste debout, l’observant. Leurs regards s’accrochent, se jaugent, s’évaluent. A qui baissera les yeux en premier. Ce fut elle qui cligna des yeux une fois, rompant le contact. Il sourit en coin, amusé et elle lâcha la bombe à ce moment la. « Je suis enceinte. » Il la regarda encore. Pas difficile de savoir de combien de moi, vu le peut qu’ils couchaient ensemble. Elle lui parla cependant et il acquiesça. Un enfant était une bonne chose. Un héritier, un lien, une preuve pour le monde qu’ils étaient bien ensemble, bien qu’ils ne le soient pas. Un enfant c’était aussi bien pour asseoir encore plus sa position dans la société de New York. Parfait.

6 mois d’attente encore et enfin, il reçut l’appel au bureau lui signifiant qu’il était père. Il n’avait pas tenu à assister à l’accouchement, mais se déplaça jusqu’à l’hôpital. En arrivant dans la chambre assignée à sa femme, il baissa les yeux et en face de lui, deux yeux noirs croisèrent les siens. Il sourit froidement alors que sa femme lui tendait sa fille. Il la prit avec plus de douceur qu’il n’avait jamais touché personne « Bienvenue au monde, Astrid June. ». Ils rentrèrent à trois quelques jours plus tard, et Astrid fût adoptés à l’unanimité. Elle était plutôt calme et apprenait vite. Ce qu’elle avait le plus facile à retenir étant les moyens de passer l’autorité de ses parents, de faire les mauvais coups sans qu’ils ne puissent l’accuser, d’être méchante. Elle ne voulait pas de câlins, de baisers, d’histoire le soir. Elle préférait les suivre dans leurs soirées, faire semblant, jouer à la petite fille sage et gentille et avoir son jouet après. Quand ses parents le lui refusaient, elle piquait des crises, était infernale en soirées. Et elle obtenait son cadeau.

Il lui fallut deux ans, simplement, pour devenir une fille capricieuse, gentille en apparence mais déjà froide et sans cœur. En publique, elle était celle que ses parents voulait, une petite adorable, mignonne qui séduisait les cœurs et donnait de l’importance à sa famille. Tant qu’elle avait ce qu’elle voulait, elle était parfaite. Alors, dans l’intimité de l’appartement, ses sourires se cachaient plus facilement, ses yeux redevenaient onyx plus que nuit. Elle contrôlait ses parents par ses crises et elle adorait ça.

Mais il y eu Elle. Astrid a deux ans quand ses parents lui annoncent qu’elle va avoir un frère ou une sœur. Elle n’en veut pas elle. Ça vie, courte mais déjà si parfaite, est très bien. Elle ne veut pas en changer ! Elle a déjà compris que cela signifierait tout diviser par deux, tout changer. Elle piqua alors la plus grosse crise de sa vie, mais cette fois, ses parents ne purent rien faire. Elle ne comprenait pas à cette époque ce qu’est l’avortement et pourquoi c’est si grave. Pendant des jours, elle repoussa ses parents, leur envoyant des jouets dessus quand ils essayaient de l’approcher. Mais rien n’y fit, ils tinrent bon. Ils lui achetèrent encore plus de choses, des vêtements, des jouets, l’emmenèrent sortir mais rien n’y faisait. Elle ne se calma que plus tard, quand elle comprit que cela ne servait à rien. Mais, assise sur le rebord de sa fenêtre, regardant cette lune toujours absente malgré sa présence permanente, elle se promit qu’elle ne laisserait jamais cet enfant à naître prendre un place dans le monde qui lui revenait. Vu qu’on ne pouvait pas l’empêcher de naître, elle l’empêcherai de vivre. Cet enfant vivrait un enfer, elle le jura sous la lune.

Lorsque sa sœur naquit, Astrid la regarda fixement, essayant de comprendre quel intérêt il pouvait y avoir dans cette petit chose toute fripée. Rien du tout. Elle fit demi-tour, faisant tournoyer sa courte chevelure brune et partit attendre son père dans la voiture. Des que sa mère rentra à l’appartement, la petite fut gardée par une nourrice. Sa mère ne voulait pas s’en occupé, et c’était tant mieux. Elle ne servait à rien, « Naomie ». Astrid ne l’accepta pas du tout, continuant à piquer ses crises si on s’approchait de sa sœur avec une once de gentillesse. Tellement que ses parents décidèrent de déménager. Ils partirent pour Los Angeles, dans une grande maison. Astrid eut sa chambre, grande et belle, avec encore un appuie de fenêtre. A la nuit tombée, elle se mit dessus et leva les yeux, retrouvant la lune invisible. Sa promesse tenait toujours.

Le matin vint et Astrid fit sa vie de petite fille dans une grande ville. Pendant quelques années, tout ce déroulait bien. Astrid vivait comme une princesse et grandissait, apprenant à faire comme si sa sœur n’existait pas. Elle n’était rien de toute façon. Astrid, elle, régnait sur la maison. Puis vint l’année de ses cinq ans. Les trois ans de Naomie. A ce moment, son père vint prévenir Astrid que sa sœur se débrouillerait seule maintenant et donc qu’il n’y aurait plus de nourrice pour s’en occuper. Il ne savait pas si elle allait essayer de voir sa sœur, alors il préférait la prévenir, simplement. Astrid le regarda, sans expression et lança un « bien » court et bref avant de retourner à son coloriage.

Mais quelques jours plus tard, une petite tête brune passa par sa porte. Astrid, debout et tournoyant dans sa nouvelle robe se figea, fixant la petite fille par l’intermédiaire du miroir. Elle. Celle qu’elle avait promit de détruire. Ses yeux s’étrécirent et elle cria en appelant son père. Sa promesse lui revenait en pleine figure. Vu que la petite était en âge de vivre, elle serait en âge de lui prendre sa place. Et ça c’était inacceptable. Il fallait agir.

Astrid se mit au travail rapidement. Chaque fois qu’elle pouvait, elle passait par la chambre de sa sœur, déchirant ses poupées, éventrant ses peluches, coupant dans ses vêtements, dessinant sur ses murs, cassant ses jouets. Elle ne laissait aucune trace de sa présence, et chaque fois elle entendait les cris, les pleurs de sa sœur en souriant. Elle se cachait derrière la porte pour entendre son père la frapper. Elle s’asseyait près du placard ou elle était enfermée pour l’écouter trembler. Quand sa sœur s’approchait d’elle, Astrid l’attrapait et la mettait dans son grand coffre à jouets, qu’elle avait vidé exprès pour ça. Elle savait que la petite avait peur du noir, elle l’entendait dans son placard. Elle la gardait là, jouant juste à coté d’elle et répondant à son père qu’elle ne savait pas où était la petite. La nuit, elle se glissait dans sa chambre, faisant jouer les ombres et les bruits jusqu’à entendre les sanglots familiers et pouvoir retourner dans sa chambre à elle. Quand Naomie jouait avec quelque chose, sa grande sœur venait, lui arrachait le jouet et le cassait, avant de la regarder se faire engueuler.

Elle développa presque une dépendance ensuite. Détruire sa sœur était son but, sa promesse, sa raison de vivre. Elle ne pouvait plus s’endormir sans l’avoir vu pleurer, ne pouvait plus partir à l’école sans l’avoir fait souffrir. Elle fit virer les nourrices en racontant des mensonges à ses parents, ainsi que toute personne qui approchaient sa sœur. Et personne ne voyait rien, à part Naomie. Mais que pouvait-elle faire, petit être insignifiant ? Astrid était reine dans ce royaume. Lorsque la petite entra à l’école avec elle, elle n’en fut que plus heureuse. Elle pouvait la faire souffrir à plein temps maintenant ! Elle monta tous les élèves contre sa sœur, faisant les yeux doux et les sourires qu’on attendait, manipulant les gens comme elle avait appris à le faire. Quand on venait se vanter d’avoir fait ceci ou cela à Naomie, elle ne se sentait que mieux. Tant que la fille souffrait, Astrid allait bien.

Elle arriva au lycée, attendit Naomie en profitant de son absence pour préparer le terrain. Et quand elle arriva, le jeu recommença. C’était si bon de la voir pleurer, trembler, souffrir. Mais ensuite, il y eu le problème de sa vie, celui qui n’avait rien avoir avec sa sœur.

Pendant les années ou Naomie n’était pas là, Astrid devait tout de même se défouler sur quelqu’un. Elle prenait pour cible tout ce qui lui mettaient des battons dans les roues. Elle leur bousillaient la vie, leur détruisait leur vie sociale et ça la détendait, au moins jusqu’à ce qu’elle rentre s’occuper de sa petite sœur. Sauf qu’une fille l’énerva plus que les autres. Elle s’appelait Rashel et c’était une fille bien. Mais elle eut le malheur d’avoir une meilleure note qu’ Astrid à un examen. Alors June s’occupa d’elle. Elle coucha avec son copain, les faisant ainsi rompre. Elle fit virer ses parents de leurs travail, s’arrangea l’empêcher de dormir, paya un garçon pour tuer son chat. Et Rashel se suicida. Elle mourut, purement et simplement. Astrid eut mal pendant un temps, s’enfermant dans sa chambre alors qu’elle culpabilisait. Elle avait toujours fait souffrir, détruire les gens, mais jamais ils n’étaient … morts.

Après trois jours, elle se releva, se fit belle et repartit en cours comme si de rien était. Personne ne sut jamais qu’elle était impliquée dans le suicide de Rashel. Jusqu’à Cameron. Elle avait couché avec et puis l’avait largué, laisser en plan complet. Il n’avait pas apprécié du tout. Il a fait des recherches sur elle, l’a traquée et finalement, à trouvé. Il la coinça au détour d’un couloir et lui parla, lui racontant ce qu’elle savait déjà, lui renvoyant ses doutes en pleines figures. Elle le repoussa et courut pour partir loin de lui. Il la regarda faire. Deux jours après, à la cafétéria, il déposa un dossier d’inscription à Harvard devant elle. « Viens. Ou tout le monde saura. » Il partit, elle le regarda. Puis elle compléta le formulaire et en rentrant chez elle, elle annonça à sa famille qu’elle irait à l’université à Harvard. Elle savait que ce serait renoncer à Naomie, à sa douleur, mais elle n’avait pas le choix. Elle trouverait quelqu’un à martyriser. Et elle rentrerait pour les vacances, retrouver sa sœur. Ça devrait aller.

Mais quand elle revint, Naomie n’était plus là. Ses parents l’avaient répudiée. Astrid fit de nouveau une crise puis partit en claquant la porte, retournant dans son université pour ne plus revenir. Là-bas, elle avait retrouvé Cameron qui continuait à lui demander des trucs en échange de son silence. Mais il n’était pas trop exigeant juste une nuit de temps en temps, qu’elle fasse un devoir pour lui, qu’elle détruise telle ou telle personne. Elle le faisait sans rechigner, c’était son domaine. Elle tint deux ans. Deux longues années d’études de droit. Elle faisait souffrir les gens mais rien n’était pareil. Aucune de leurs larmes ne remplaçaient celles de sa sœur, aucun de leur frisson de douleur ne remplaçaient les siens. Quand elle entendait une fille souffrir, jamais les sentiments ne valaient le plaisir qu’elle avait eu à faire de la vie de sa sœur un enfer. Et le pire était qu’elle se disait que maintenant, sans elle, sa sœur devait être heureuse. Et ça c’était inacceptable. C’était faillir à sa promesse.

Ce fut la seule chose qu’elle demanda à Cameron. Elle s’abaissa à le supplier devant son refus, lui demandant de rentrer, de retourner à Westmount. Elle avait besoin de la douleur de sa sœur. Elle n’était plus elle-même ainsi. Il la laissa dans le doute un moment avant de donner son accord. Ils rentreraient pour l’année à venir. Astrid sentit son cœur battre plus vite et s’occupa de tout. Elle se loua un appartement, ne voulant pas retourner chez elle. Elle refoula le sol de Westmount, retrouva ses anciennes connaissances, ses anciens liens. Elle était encore plus redoutable, encore plus assoiffée, et encore plus déterminée.

« Surveille tes arrières, Naomie, je suis de retour dans ta vie. »


Mon Caractère

« La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID Mpyjc
♫ Et ne parlez pas de détails
Qu’elle exagère et se donne en public
Qu’elle amplifie et qu’elle déraille ♫

Quand on voit Astrid, on se dit que c’est une fille sûre d’elle, prête à tout pour ce qu’elle veut et déterminée. Ce n’est pas du tout faux, en fait. Astrid ne baisse jamais les bras. Elle ne souffre pas, rien ne l’atteint. Alors elle monte les échelons, se bat pour arriver au but qu’elle s’est fixé. Elle écrase les gens sous ses hauts talons, les étouffe avec ses écharpes à 500$ et leur déchire le corps avec ses ongles parfaitement manucurés. Elle a déjà tué une fois, enfin engendré un suicide plutôt et elle a culpabilisé. Mais c’est passé et maintenant, elle s’en fiche bien. La seule chose à laquelle elle tienne est son image. C’est ainsi que si quelqu’un découvrait son secret, il pourrait la tenir en laisse, comme Cameron le fait depuis trois ans.

Quand on dit que rien ne l’atteint, c’est faux. Il n’y a que peu de choses, cela dit. Par exemple, sa sœur. Elle a un besoin évident de la faire souffrir. Elle s’est tellement plongé dedans qu’elle n’arrive plus à s’en sortir. Elle a besoin de la voir pleurer, trembler, souffrir. De sentir sa douleur, physique ou mentale. Voir sa douleur la fit se sentir bien, apaisé. Elle a vécut deux ans difficiles loin de sa sœur et ne trouvait le sommeil qu’en faisant souffrir plusieurs personnes pour égaliser la douleur de Naomie. Oui, c’est louche comme passion, mais c’est plus fort qu’elle. C’est un besoin puissant et évident. Alors elle le reprend avidement, se lançant dedans sans hésiter.

Astrid est une princesse. Elle a toujours ce qu’elle veut, peu importe ce qu’elle veut. Que ce soit un t-shirt, une paire de manolo à 2000$ ou un garçon, elle l’obtiendra toujours. Elle sait se montrer convaincante. Douce et gentille, ou froide et calculatrice, elle joue avec les gens, les amène à la suivre et se forme facilement une petit cour de suiveur près à tout faire pour elle. Elle les manipule et ils ne comprennent rien. Car elle n’a pas d’amis, pas d’amour, pas d’attaches. Pas de cœur. Elle se laisse en apparence dompter par des garçons durant une nuit, avant de les laisser au réveil, partant sans venir jamais les revoir. Elle ne fait que s’en servir, comme des filles, comme des gens en général. Elle pense à elle avant les autres, donc on peut dire qu’elle est égoïste. Égocentrique. Et sûrement même narcissique. Mais elle est aussi très douée pour le cacher, pour que personne ne le remarque.

Riche et sans pitié, elle a assez d’argent pour faire tourner son monde sans même travailler, mais elle étudie quand même assidûment. Elle rend toujours ses devoirs attends, et à souvent les meilleures notes de la classe. L’échec, elle déteste ça et est prête à le faire payer si elle en a un. La rage de vaincre, dirons nous. Elle fait du droit, afin d’encore mieux contrôler les gens et son univers. En connaissant les lois, on ne peut que mieux les transgresser.

Vous l’aurez compris, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Alors les gens n’essaient pas. Ce serait tomber. Car elle adore détruire la vie des gens, c’est son passe-temps, son occupation. Elle peut détruire la vie sociale de quelqu’un en bien peu de temps et sans une once de remord ensuite. C’est ça, Astrid.


Mon Physique

« La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID 21jcdxu
♫ Chaque jour un peu plus
Elle m’éblouit
Sa méthode ne tolère aucun répit
Chaque jour un peu plus
Elle s’égosille ♫

[color=darksalmon]Physiquement, Astrid est … Belle. Vraiment belle. Dans le genre qui attire les regards, qui fait sourire les garçons et creuse un pli entre les sourcils des filles. Le genre sur lequel on se retourne et qu’on admire. Elle a déjà fait quelques scéances photos dans des pubs, c’est pour vous dire qu’elle a tout du mannequin. Elle aime qu’on la regarde, qu’on l’admire, qu’on la désire. Ses courbes sont bien placées. Elle n’a pas une grosse poitrine ou des hanches lourdes, mais simplement bien formée, harmonieuse. Sexy, oui. Elle fait tout pour. Son roulement de hanches, ses longues jambes fuselées, souvent terminées par des hauts talons pour la rendre encore plus attirantes. Ses vêtements … Souvent moulant, toujours à la mode, jamais pour baisser son sex-appeal. Ses vêtements sont fait pour elle, souvent sur mesure même. Juste pour elle, rien que pour elle, parce qu’elle est Astrid June et qu’on ne refuse rien à Astrid June.

Son maquillage est toujours parfait. Selon ses humeurs, il passe de présent mais harmonieux à léger et discret. Elle a appris l’art de la coiffure et du maquillage et s’en sert plus sur elle que sur quelqu’un d’autre. Toucher quelqu’un ? N’importe quoi ! Elle a la peau pâle et fraîche douce au regard et au touché. Son teint doux l’aide encore plus à être belle, à avancer dans la vie. Encadré de cheveux qui passent du noirs au brun selon la luminosité et la saison, son visage est fin et doux. Pour bien caché son cœur de démon, sûrement. Un sourire, un clin d’œil, une mimique pour vous paraître douce et agréable et dans le dos elle vous transpercera. Mais c’est Astrid, alors elle vous le fera avec classe et subtilité.

Ses yeux sont noirs. Un noir de velours, envoûtant, attirant, qui vous hypnotise. Le regard du cobra fixé sur le petit oiseau à ses pieds. Calculateur, sûr de lui, froid mais d’un froid qui vous brûle et vous attire irrémédiablement. Elle le sait en s’en sert, adore ça d’ailleurs. Toutes les choses que l’ont peut dire grâce à un simple regard … C’est impressionant. Astrid ne sourit pas beaucoup, où alors c’est un sourire en coin, un sourire froid, un sourire arrogant, calculateur ou appréciateur. Aucun sourire sincère, jamais. Car le diable ne sourit pas, à part pour hypnotiser les pauvres âmes égarées.



Derrière le miroir...
Mon histoire

Pseudo : Shad for life Cool
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Loisir : Drôle de question u.u
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Dernière édition par Astrid E. June le Lun 30 Juil - 15:36, édité 7 fois
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Naomie June

Naomie June


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MessageSujet: Re: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 11:07

Suspect

*fait ses valises et se casse* u.u
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Astrid E. June

Astrid E. June


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MessageSujet: Re: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 11:08

    Hey, P'tite soeur ! Rolling Eyes
    Reste, on va s'amuser Wink
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Naomie June

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MessageSujet: Re: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 11:40

j'ai pas de soeur >< j'ai pas de famille moi è.é
:pan:
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Astrid E. June

Astrid E. June


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« La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID Empty
MessageSujet: Re: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 11:42

    Han c'est chou ! C'est comme ça que tu tiens ? Trop mignon.

    Mais ne t'inquiète, je m'occuperais de te rappeler où est ta famille ! <3
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Naomie June

Naomie June


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MessageSujet: Re: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 15:46

Va chier ><

Et tu t'occuperas de rien du tout tu feras plus jamais partie de ma vie Rolling Eyes
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Astrid E. June

Astrid E. June


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MessageSujet: Re: « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID   « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. » • ASTRID EmptyDim 15 Juil - 16:10

    Je suis la, c'est suffisant. Le reste suivra, ne t'inquiète surtout pas de ça !
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